Je me souviens de la première fois que je sentais l'eau de mer propose Friselle semblait une chose étrange pour moi de lunettes! Puis, pensandoci bene, J'ai trouvé une beauté qu'ils ne peuvent pas ne pas essayer.
Nous pensons… un bateau, en raison friselle, quelques tomates, une bouteille de bonne huile d'olive et de la mer ..., évidemment où la propreté! Quel régal! Sur, Je suis oublié une bouteille de vin, peut-être un bon rouge, J'aime! 😉
C'est la bonne vie qui me plaît ...
Ils m'ont dit que, une fois les Salentins de pêcheurs préparés exactement comme. Habitudes perdues hélas, principalement en raison de la pollution qui nous a conduit à se méfier, mais pas seulement, Je crois aussi avoir oublié les petites et simples traditions qui, à mon avis donnent une touche de poésie et de romantisme à la vie.
Le Friselle sont purement typique des Pouilles, un plat pauvre dont les origines anciennes sont perdues jusqu'à ce que le temps des Phéniciens, que, Marchand a mangé les mouiller dans la mer et assaisonné avec de l'huile d'olive.
Il est préparé avec de la farine de blé que l'orge; sont cuits dans le four pour la première fois,, et alors, après avoir été coupé en deux, un second. Une partie reste rugueux, e l’altra liscia e compatta.
Il disait que la Friselle doit «rozzulare 'dans les dents. Gélule, mais aussi croquants!
Sicuramente si tratta di tradizioni popolari nate dalla necessitá e da un periodo storico in cui sprecare del cibo diventava un delitto. Immagino questi pescatori con del pane secco ed immangiabile trovare l’ingegno, quindi immergerlo nel mare e creare un pasto! 🙂
Un periodo storico, ahimé, che stiamo rivivendo… A parte tutto, trovo che le tradizioni popolari siano bellissime! Rievocarle è mantenere viva la nostra grande storia.
[…] la burrasca non mi sono fatta mancare delle friselle all’acqua di mare preparate come una volta facevano i pescatori […]